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BÉNÉVOLES
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BÉNÉVOLES
Les inscriptions au Programme Bénévoles ont connu un véritable engouement.
Ils sont plus de 550 a avoir répondu présents pour faire partie de l’aventure !
Enthousiasme, énergie et sourires !
Découvrez les interviews de ceux qui nous ont déjà rejoint !
Marie-Christine et Mélanie
Deux femmes, deux générations, une amitié !
Les hasards de la vie créent de belles histoires. Marie-Christine et Mélanie se sont rencontrées via le programme bénévoles de SQY.
Depuis, des liens d’affection se sont noués !
Le 27 août prochain, elles porteront ensemble la Flamme Paralympique sur le territoire.
Marie-Christine : Après une carrière professionnelle assez active, le bénévolat dans le cadre des JO était l’option parfaite, en plus du temps que je consacre à mes petits-enfants.
Mélanie : Je suis toute nouvelle à SQY. Venue de Martinique, je me suis installée il y a un an et demi pour suivre des études de mathématiques à Paris-Saclay, après une classe préparatoire. Quand j’ai su que les Jeux auraient lieu ici, je me suis dit, pourquoi pas ! C’est une chance qu’on ne vit qu’une seule fois. Humainement et professionnellement, c’est une mission passionnante. En tant que bénévole, on développe des compétences tout-terrain !
Mélanie : Absolument ! On a fait connaissance sur des missions bénévoles au sein des villages olympiques. Habitant toutes les deux à Guyancourt, on a rapidement partagé nos trajets. Il faut savoir que je vis loin de ma famille, installée en Martinique. Etre bénévole contribue à mon épanouissement social hors du cadre universitaire. J’ai pu rencontrer des personnes incroyables comme Marie-Christine, que je considère comme ma troisième grand-mère ! Pour moi, les bénévoles forment une petite famille du sport.
Marie-Christine : On se connaît bien maintenant avec Mélanie ! Elle est quasiment devenue un membre de la famille. J’ai même fait la connaissance de ses parents lorsqu’ils sont venus de Martinique. Avenante et prévenante, Mélanie me pousse à aller de l’avant. C’est un peu mon coach !
Mélanie : En Martinique, je pratiquais la yole, sport de voile très physique, pour lequel de grandes compétitions sont organisées. Ici à SQY, je reprends le volley-ball.
Marie-Christine : Je ne suis pas sportive mais je vis le sport à travers mon fils aîné, qui pratique le triathlon et le cyclisme sur route. Il est d’ailleurs très fier de mon engagement pour les JOP !
Marie-Christine : J’ai en mémoire des souvenirs très forts de mes parents regardant fidèlement le Tour de France à la télévision. Ils plaçaient même de petits drapeaux sur une carte pour marquer les étapes du Tour !
Mélanie : J’ai un souvenir précis de l’athlète paralympique algérien Abdellatif Baka, aux JOP de Rio 2016. Malvoyant, il a battu le record du monde aux 1500 m et réalisé une meilleure performance que les athlètes valides. Une très belle leçon de vie. Et puis il y a évidemment Marie-José Perec, triple championne olympique et grande figure pour toutes les femmes antillaises.
Mélanie : Lorsque j’ai candidaté pour porter la flamme olympique, j’ai tout de suite pensé à Marie-Christine pour m’accompagner. Je crois que notre histoire d’amitié a touché les recruteurs.
Marie-Christine : C’est un immense honneur de porter la flamme paralympique. Ce sera un moment magique !
Mélanie : J’invite tous les Saint-Quentinois à sauter le pas ! On est une grande famille et on s’amuse beaucoup. Il faut se lancer dans cette aventure enrichissante et unique !
Marie-Christine : On fait de belles rencontres, avec beaucoup de respect et de dynamisme. Grâce à cette expérience inoubliable, je sais que je continuerai, après les JO, à faire du bénévolat sportif. Voir des spectateurs heureux qui vous remercient, ça n’a pas de prix !
Claude
Bénévole et sportif tout-terrain !
Pour moi le sport, c’est la routine ! Elancourtois depuis 1977 et artisan-carreleur à la retraite, j’ai toujours pratiqué le sport à un niveau intensif. Je courais entre 150 et 200 km par semaine et j’ai participé à de nombreuses compétitions (des distances de 100 km, des courses de durée de 24h, 48h, une course de 200 km en Mauritanie dans le désert…). Je me levais à 5h pour faire mes 20 km et être au travail à 8h. Lorsque j’ai été blessé, j’ai passé mon monitorat de plongée. J’ai aussi pratiqué la course de moto, l’escalade… C’est sûr, j’aime le sport et j’aime quand ça bouge ! Aujourd’hui je me suis mis au golf, parce que mon corps a dit stop… Après les JO, je prévois aussi de sauter en parachute avec mon petit-fils.
C’est un vieux rêve de sportif. Pour mon premier cross en tant que minime, j’ai vu courir Michel Jazy, légende de l’athlétisme français. Il ne courait pas, il volait ! Ça m’a vraiment donné envie d’aller loin et j’aurais aimé en tant qu’athlète, participer un jour aux JO. En tant que bénévole SQY, je vais un peu faire mes Jeux Olympiques ! J’aurai la chance d’accueillir et de guider les supporters du monde entier qui arriveront à Saint-Quentin-en-Yvelines.
Dans les années 1960, j’allais chez mon oncle regarder l’athlétisme à la télévision. Je me souviens d’avoir vu Michel Jazy finir deuxième aux 1500 mètres. Et pour l’un de mes premiers marathons, je me suis fait battre par le grand Alain Mimoun.
J’ai un côté chauvin ! Du moment que l’athlète est Français et qu’il chante la Marseillaise, ça me met la larme à l’œil, quel que soit le sport…
Isabelle & Laurent
Un couple sur-motivé !
Laure
Donner… et recevoir au centuple
Une énergie à toute épreuve et un sens profond de l’humain.
Pour Laure, bénévole saint-quentinoise, l’engagement et le don de soi sont des mots qui se vivent au quotidien.
Guyancourtoise, travaillant chez Thalès et ayant une deuxième activité de psychopraticienne à Elancourt, je suis un pur produit saint-quentinois ! J’ai eu la chance de voir sortir de terre le Vélodrome National et j’ai assisté en famille aux premiers championnats du monde de cyclisme sur piste. J’habite près du Golf national, je travaille à côté de la Colline d’Elancourt, je vis au cœur de quatre sites olympiques… C’est assez remarquable ! Je pense qu’il est important de valoriser le lieu où l’on vit et de prendre part à ce qui nous entoure. Etre bénévole dans le cadre des JOP, c’est aussi donner du sens à sa vie, car nous sommes des êtres sociaux avant tout !
Je suis originaire de Haute-Savoie, terre de pratique sportive où le vélo, le ski, la randonnée, font partie du quotidien. Malheureusement, j’ai été blessée au genou dès l’âge de 17 ans et j’ai dû m’adapter. Aujourd’hui, je ne pratique que des sports doux comme la natation, la plongée ou le longe-côte (marche aquatique).
Comme je viens de Haute-Savoie, les exploits des sœurs Goitschel qui ont marqué le ski alpin français, mais aussi ceux de Jean-Claude Killy, triple champion olympique. Aux JO d’Atlanta en 1996, je me souviens également des athlètes du club d’aviron d’Evian, arrivés sur le podium.
Les athlètes handisports m’impressionnent par leur force et leur talent. Je pense à Jonathan Hivernat, capitaine de l’équipe de France de rugby fauteuil. Il motive et entraîne son équipe avec une énergie et un enthousiasme rares.
Depuis 2022, de nombreux événements handisport sont organisés en Ile-de-France avec l’intention de nous préparer aux JOP 2024. J’ai eu la chance d’être bénévole à des compétitions de rugby fauteuil, de para athlétisme, de para tennis de table, de paracyclisme sur piste, et j’attends avec impatience d’être retenue pour l’escrime fauteuil. Ce sont des missions très motivantes, avec une ambiance unique. Ces athlètes qui se dépassent chaque jour nous donnent une vraie leçon de vie : ils nous transmettent une énergie incroyable et une humilité à toute épreuve. Lorsqu’ils nous remercient d’être à leur côté, on oublie leur handicap, leur reconnaissance nous fait un bien fou !
Je suis sûre qu’on va vivre des moments très forts avec ces JOP à Saint-Quentin-en-Yvelines. Cela n’arrivera qu’une seule fois dans notre vie ! En tant que Saint-Quentinois, on se doit d’être à la hauteur et de vivre ces émotions exceptionnelles, même lorsqu’on n’est pas sportif ! Pour moi, les JOP relèvent aussi du défi personnel : apprendre à se connaître et oser se surpasser soi-même. Dans mon activité de psycho praticienne, c’est exactement ce que j’essaie de transmettre aux personnes que j’accompagne.
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